La belle planète lait
Introduction :
La planète lait est un documentaire réalisée par Andreas Pichler, sorti en 2017.
Ce film parle de l’élevage, de la faim et malnutrition, la politique agricole et l’Agrobusiness.
Les réalisateurs ont voyagé partout dans le monde pour avoir un avis assez large sur ce sujet.
Sujet :
Ce film nous montre la production de lait dans plusieurs pays (en Afrique de l’ouest, en Allemagne et en Chine).
Il évoque les problèmes comme : la déforestation des forêts.
Les conséquences sur l’environnement, sur les animaux et sur les humains sont nombreuses :
– Il y a la pression des prix.
– Produire un lait de qualité tout en réduisant leurs coûts.
– Leur revenu dépend du prix auquel la laiterie achète la production.
– Un immense gaspillage de ressources à l’échelle mondiale
Les solutions proposées sont :
Elevage en plein air : les vaches laitières peuvent produire plus longtemps et avoir une meilleure qualité de vie dans des systèmes bien mené, basés sur un accès au pâturage durant la période de pousse de l’herbe. Un programme de sélection basé sur un potentiel génétique pour un rendement laitier plus faible permet d’avoir des vaches en meilleure santé.
Et produire de façon bio.
Critique :
C’est un documentaire attrayant et intéressant, il ne se focalise pas sur un seul lieu, pays ou continent.
La planète lait reste honnête face aux caméras en montrant le bon, mais surtout les mauvais côtés de cette production.
Les narrateurs montrent, expliquent et argumentent en détail l’impact du lait sur l’environnement qui est parfois destructeur et désastreux, notamment dû à la production de soja pour nourrir les vaches, qui sont responsables des déforestations en Amazonie.
L’agrobusiness se sert de la naïveté des gens pour vendre plus et en plus grande quantité sachant que le lait est un produit se trouvant dans la majorité des aliments que nous consommons.
Conclusion :
En général, ce film était vraiment bien et intéressant.
Mais nous lui avons quand même trouvé quelques défauts comme la durée qui fait qu’on finit par se lasser et qu’on se détache du film au bout de 20 minutes.
L’aspect aussi répétitif du film fait qu’on se perd.
Il nous a quand même permis de nous enrichir sur la façon dont est fait le lait.
Cathy, Léonise, Gabrielle, Alicia.
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